Compétences

Les situations de crise sont source d’un grand stress. Aussi notre cabinet a pour habitude de fixer les rendez-vous rapidement afin de vous accompagner et faire le point. En effet, votre situation familiale et personnelle est au cœur de nos préoccupations.

Le premier rendez-vous vous permettra d’exprimer vos attentes et vos doutes, nous vous orienterons en fonction de votre situation vers la procédure qu’il faudra engager. Nous définirons ensemble la stratégie à adopter et les procédures qu’il conviendra de mettre en place.

Nous privilégions une approche apaisée et amiable, qui correspond également à l’évolution de notre législation. En effet, le décret du 11 mars 2015 et la loi du 18 novembre 2016 prévoient une tentative préalable de règlement amiable de nombreux différends civils, avant tout recours judiciaire. Cette évolution se poursuit au niveau législatif, en effet à compter du 1er janvier 2020, le recours aux modes amiables est obligatoire pour les litiges dont le montant est inférieur à 5000 €, ainsi que pour les conflits de voisinage.

Nous constatons que cette pratique aboutit à la conclusion de nombreux accords permettant d’adoucir les souffrances liées au conflit.

Lors du premier rendez-vous nous indiquons également le montant des honoraires et la durée probable de la procédure. Dans les jours qui suivent vous recevrez une convention d’honoraires qui reprend les honoraires indiqués en rendez-vous et un premier appel de provision.

Au cours du second rendez-vous nous collectons un ensemble de pièces (avis d’imposition, charges, emprunts, pièces d’état civil, contrats, correspondances, etc.), afin de préparer votre dossier selon la procédure envisagée. Liste des pièces

Nous vous accompagnons tout au long de la procédure et restons à votre écoute.

Honoraires

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Le cabinet pratique plusieurs types de facturation des honoraires.

Lors de la première consultation nous vous indiquerons le mode de facturation applicable à votre affaire et le montant des honoraires prévisibles. Nous attachons une importance particulière à la transparence des frais :

  • Honoraires au temps passé : les honoraires sont facturés au fur et à mesure du travail effectué, étant précisé que notre taux horaire est de 200 € HT (taux 2020) ; la TVA s’appliquant sur nos prestations étant de 20 %.
  • Honoraires forfaitaires : les honoraires sont fixés forfaitairement pour une prestation définie et peuvent être réglés en plusieurs fois ;
  • Frais de dossier applicable à toute ouverture de dossier.

Dans certaines procédures un honoraire de résultat peut également être prévu.

Au début de la relation de travail, une convention d’honoraire, indiquant le type de facturation, sera signée et une première provision devra être versée (variable en fonction de votre dossier).

Enfin, pour certaines affaires nous pouvons accepter d’intervenir au titre de l’aide juridictionnelle si vous remplissez les conditions d’obtention.

Domaines de compétences

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DROIT DE LA FAMILLE

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La rupture d’un couple est une étape importante qui nécessite un accompagnement. Comprendre comment pourra se concrétiser votre séparation en fonction de votre situation, de vos besoins et ceux de vos proches.

La décision d’entamer une procédure de divorce est une étape cruciale de votre séparation. Elle doit être anticipée et préparée, et vous devez prendre le temps de connaître vos droits et vos devoirs pour organiser vos conditions de vie, tant durant la procédure qu’à l’issue de celle-ci.

En pratique, certains couples pendant cette période préfèrent privilégier, avant la procédure de divorce, une séparation de fait provisoire afin de s’organiser. Cette période est parfois nécessaire mais elle engendre des conséquences à ne pas négliger. C’est l’occasion de se poser les bonnes questions pour permettre d’organiser les conséquences de votre séparation.

Les questions qui se posent le plus souvent sont : Comment entamer une procédure de divorce ? Quelle procédure ? Quel est le délai de la procédure ? Combien ça coûte ? Comment protéger vos biens ? Qui prendra en charge les dettes ? Comment calculer la prestation compensatoire ? Les modalités de garde des enfants ? Quel sera le montant de la pension alimentaire ? Quels sont mes interlocuteurs ?

DIVORCER SANS JUGE - DIVORCE A L’AMIABLE PAR ACTE D’AVOCAT

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Le divorce par consentement mutuel par acte sous seing privé par acte d’avocat est l’une des quatre procédures de divorce, elle existe depuis le 1er janvier 2017.

En effet, c’est la seule procédure amiable où le juge n’est plus amené à fixer à la place des époux les conséquences de leur divorce. Les époux devront donc s’entendre sur l’ensemble des modalités de leur rupture, notamment les aspects patrimoniaux et les modalités concernant leurs enfants. C’est à l’occasion du premier rendez-vous au cabinet qu’un audit de votre situation sera réalisé.

Puis, nous corédigerons la convention de divorce avec l’avocat de l’autre époux, cette convention ayant pour objet de régler les effets du divorce. C’est donc un acte particulièrement important.

Cette convention liquide le régime matrimonial des époux et prévoit éventuellement une prestation compensatoire qui aura été négociée avec l’autre partie, enfin elle prévoit également des mesures relatives aux enfants.

Dans le cadre d’un divorce amiable, il est possible de prévoir, un rendez-vous commun avec l’autre conseil en vue de négocier les termes de la convention et d’aplanir des difficultés qui pourraient survenir. Ces réunions permettent d’avancer utilement.

Par ailleurs, il est toujours possible de prévoir en accompagnement et si nécessaire :
- Une médiation
- Du droit collaboratif/droit participatif en amont

Une fois les époux d’accord sur les conséquences de leur divorce, les époux signeront la convention de divorce rédigée qui sera ensuite enregistrée chez leur notaire (dépôt de la convention au rang de ses minutes). Le notaire dispose d’un délai de 15 jours pour établir l’attestation de dépôt, qui permettra à l’un des avocats de se charger ensuite de la transcription du divorce auprès des services d’état civil.

Ce divorce amiable et rapide doit néanmoins être bien préparé, notamment sur les aspects liquidatifs. Ce divorce est également moins onéreux qu’une procédure contentieuse. Dans la majorité des cas nous pouvons prévoir un forfait pour les honoraires.

DIVORCE JUDICIAIRE & DIVORCE INTERNATIONAL

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Un divorce contentieux est par nature conflictuel. Nous privilégions néanmoins chaque fois que c’est possible une concertation avec l’autre partie. Toutefois si cela n’a pas été possible, le Juge aux Affaires Familiales tranchera les difficultés qui lui sont soumises.

Il existe trois types de divorces judiciaires :
- Le divorce accepté
- Le divorce pour altération de la vie commune
- Le divorce pour faute

Jusqu’au 1er janvier 2021, le divorce judiciaire était scindé en deux phases. Nous vous accompagnons à tous les stades de la procédure, lors de la phase de la tentative de conciliation, puis lors de la phase de la reprise de la procédure judiciaire et la rédaction de l’assignation avec les demandes du client.

Nous vous conseillons également sur les choix des procédures les plus adaptées à votre situation. C’est un travail d’équipe avec le client et une étroite collaboration.

Nous étudions tout particulièrement les questions ci-dessous qui peuvent être très conflictuelles ou techniques :
- Autorité parentale
- Résidence principale / alternée
- Droit de visite et d’hébergement
- Pension alimentaire
- Prestation compensatoire
- Liquidation du régime matrimonial

Enfin, nous pouvons vous assister dans le cadre d’un divorce international. Les divorces ayant une dimension internationale (nationalité, lieu de mariage etc) sont très spécifiques en raison de la multiplicité des textes.

Depuis le 1er janvier 2021, le divorce n’est plus scindé en 2 phases. L’audience de conciliation à laquelle les conjoints se rendaient dans le cabinet du Juge aux Affaires Familiales pour fixer les mesures provisoires, disparaît. Cette audience était obligatoire pour les conjoints.

Elle est remplacée par une rapide audience « d’orientation des mesures provisoires », à laquelle la présence ses conjoints n’est plus obligatoire, sauf demande expresse du Juge d’entendre les époux.

Par ailleurs, le délai de séparation des époux passe de 2 ans à un an pour les divorces pour altération définitive du lien conjugal.

PARTAGE AMIABLE - JUDICIAIRE DE VOS BIENS

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Le partage de vos biens est une étape essentielle de votre vie. Le partage intervient à plusieurs périodes différentes selon que vous êtes mariés, pacsés ou concubins.

Il est essentiel de savoir que tous les partages peuvent être réalisés à l’amiable.

C’est seulement en cas de désaccord et dans l’impossibilité de parvenir à un partage amiable qu’une procédure de partage judiciaire devra être engagée devant le Juge aux Affaires Familiales.

La technicité du partage des biens nécessite une information pointue auprès de professionnels qualifiés. N’hésitez pas à solliciter un rendez-vous afin que je puisse étudier votre situation.

SEPARATION AMIABLE - SEPARATION DES COUPLES NON MARIES

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La rupture de votre concubinage vous oblige à partager vos biens, notamment si vous êtes propriétaire d’un bien immobilier ou de valeurs mobilières, ou si vous êtes en société. Elle vous oblige également à régler les conséquences de la séparation pour vos enfants.

La rupture des couples non mariés présente également certaines spécificités.

Nous pouvons vous accompagner dans le cadre de l’organisation des conséquences de votre séparation.
- Rédaction d’un pacte de famille ou de rupture
- Liquidation amiable de l’indivision
- Autorité parentale
- Résidence principale / alternée
- Droit de visite et d’hébergement
- Pension alimentaire

Il est à noter, que vous pouvez également en absence de toute séparation organiser les conséquences éventuelles d’une séparation et prévoir une convention de concubinage qui permettra d’anticiper au mieux toutes ces questions. C’est un outil particulièrement intéressant qui pourrait ressembler à un « contrat de mariage ».

PROCEDURE CONTENTIEUSE - SEPARATION DES COUPLES NON MARIES

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Le concubinage n’entraîne aucune obligation entre les concubins, chacun peut rompre à tout moment. Pour autant s’il y a des enfants, les obligations parentales demeurent et nécessitent de prendre le temps de s’organiser avec l’autre parent. Aussi les modalités de résidence, la contribution alimentaire doivent être prévues.

S’il n’est pas possible de parvenir à trouver un accord avec l’autre parent, le litige devra être soumis au Juge aux Affaires Familiales qui tranchera les différends. Cette procédure ne nécessite pas obligatoirement d’être assisté d’un avocat. Néanmoins il est vivement conseillé de se faire assister tout le long de la procédure et pour l’audience. Nous vous aiderons à constituer un dossier recevable et utile pour faire valoir la défense de vos intérêts et ceux de vos enfants.

AUTRES AFFAIRES FAMILIALES

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Nous vous accompagnons également dans les prestations suivantes :
- PACS (rédaction de la convention, formation, contenu, dissolution)
- Filiation (établissement ou contestation de la filiation)
- Changement de nom - Adoption (simple ou plénière)
- Droit de visite et d’hébergement des grands-parents (ou de tout autre tiers ayant des relations privilégiées avec les enfants)
- Paternité
- Curatelle, Tutelles (rédaction de la requête de saisine du JCP, et accompagnement à l’audience).

DROIT DES SUCCESSIONS

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J’ai un intérêt tout particulier pour le droit des successions, qui est une matière où l’humanité et l’écoute sont primordiales, ainsi que de solides connaissances juridiques.

Lorsqu’on hérite, il est fréquent de se poser un certain nombre de questions. Nous ignorons souvent ce qui doit être fait suite au décès, ou au contraire ce que l’on ne doit surtout pas faire.

Fréquemment les héritiers sont seuls et ne savent pas comment gérer la succession de leur conjoint, partenaire, concubin, parent.

Le notaire en charge de la succession est là pour répondre à vos questions. Il procède au règlement de la succession par étapes, et il doit s’assurer du bon déroulement des opérations jusqu’au partage effectif des biens du défunt.

Parfois, il arrive que les héritiers aient des intérêts opposés (enfants d’une précédente union, remariage), l’assistance d’un avocat devient alors nécessaire d’une part pour accompagner dans le processus du règlement de la succession, ou dans certains car pour engager une procédure de partage successoral.

Partage amiable :
- Assistance auprès du Notaire
- Rencontres avec les différents héritiers
- Transaction
Partage successoral et liquidation judiciaire :
- Procédure de liquidation et de partage
- Expertise
- Annulation de testament/Assurances-Vie
- Procédure à bref délai pour obtenir la mise en vente anticipée d’un bien indivis

AUTRES COMPETENCES

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DROIT CIVIL :

  • Conflits de voisinage
  • Contrat de bail (loyers impayés, procédure d’expulsion, …)
  • Faute et responsabilité civile contractuelle et délictuelle
  • Droit des contrats
  • Expertises judiciaires

DROIT IMMOBILIER :

  • Procédure à bref délai
  • Expertise
  • Expulsion
  • Recouvrement d’une indemnité d’immobilisation

DROIT DU PREJUDICE CORPOREL :

  • Démarches amiables auprès de l’assurance
  • Référé expertise et provision
  • Expertise
  • Détermination des responsabilités
  • Evaluation financière des préjudices

Faire appel d'un jugement

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Nous pouvons vous accompagner dans le cadre d’un appel, concernant mes domaines de compétence tant en droit de la famille qu’en droit civil (immobilier ou préjudice corporel) à la suite de la notification d’un jugement ou d’une ordonnance.

Si vous êtes destinataire d’une notification d’appel, il convient de prendre rapidement rendez-vous avec mon cabinet, afin que je vous informe des modalités d’une procédure d’appel. La représentation par avocat est obligatoire devant la Cour d’Appel.

Les délais pour se constituer ou pour faire appel sont brefs, selon le type de décision les délais pour faire appel sont soit de 15 jours, soit d’un mois.

Mon cabinet dépend du ressort de la Cour d’Appel de Rennes et peut se charger des déclarations et procédures d’appel des Juges aux Affaires Familiales, du Tribunal Judiciaire de NANTES.

Il m’est également possible d’être postulante près de la Cour d’Appel de Rennes ou d’intervenir dans d’autres juridictions (avec postulant)

Modes Amiables : Médiation, Procédure Participative

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Une approche différente du métier d'Avocat :

Le cabinet est constamment à la recherche de la meilleure solution, que celle-ci soit amiable ou judiciaire. Avant tout, j’essaye toujours de privilégier les concertations avec la partie adverse afin de régler les conflits et de trouver la solution la plus adaptée à toutes les parties concernées (par exemple dans le cadre d’un divorce nous n’oublions jamais que les ex-époux sont voués à avoir des contacts entre eux en tant que parents, ou que des voisins sont toujours amenés à se côtoyer).

En effet, après de nombreuses années d’exercice du métier d’Avocat j’ai pu constater le côté destructeur d’une procédure judiciaire pour les relations humaines, ainsi que son coût élevé. Aussi, je suis convaincue de la nécessité de trouver une autre solution (que judiciaire) à la résolution des litiges. Je suis persuadée de la nécessité d’être aux côtés de nos clients pour faire avancer les solutions amiables.

Il est souvent préférable une bonne négociation à l’amiable qu’une longue procédure judiciaire, j’ai développé d’importantes compétences en négociation.

Dans le cadre de cette dynamique et cette volonté de résolution des conflits à l’amiable, je peux vous orienter vers une procédure participative ou une médiation.

La procédure participative

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C’est une originalité spécifiquement prévue par la loi française, inspirée du droit collaboratif, et entrée en vigueur le 1er septembre 2011. Elle constitue un préalable à la prise de décision du Juge au moyen de réunions entre les avocats et leurs clients. La procédure participative vise à faire homologuer un accord total ou partiel et/ou à faire trancher les désaccords persistants par le Juge.

Cette procédure est en pleine essor, puisqu’il est désormais possible de conclure une procédure de procédure participative de mise état dans toute procédure judiciaire. Cela permet aux parties dans le cadre d’une procédure d’œuvrer à la résolution amiable de leur différend et à la mise en état de leur litige. Ce qui permet notamment de convenir avec l’autre partie des modalités d’échange de pièces, d’écritures, de la possibilité de recourir à un technicien, ou à un expert etc. C’est un gain de temps procédural.

Nous pouvons vous assister dans le cadre de cette procédure, si celle-ci est adaptée à votre situation.

La médiation

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Je peux vous orienter vers une médiation.

La médiation est un processus volontaire, original et efficace de prévention et de règlement des litiges, consacré par la loi, s’inscrivant dans un cadre éthique et déontologique. Les parties, en présence du Médiateur parfaitement neutre et indépendant recherchent elles-mêmes, en toute confidentialité une solution à leur différend.

Le Médiateur n’a aucun pouvoir juridictionnel. Son rôle consiste à créer les conditions nécessaires pour (r)établir la communication entre les parties, imposant un respect mutuel, afin de faciliter la circulation de l’information, mais aussi à redéfinir leurs relations, en les conduisant elles-mêmes à trouver une ou plusieurs solutions mutuellement acceptables à leur différend. En définitive le médiateur ne tranche pas le différend, il laisse les parties construire leur solution.

La médiation permet de redynamiser la relation et d’éviter l’affrontement devant les juridictions traditionnelles.

Le particulier peut avoir recours à la médiation dans toutes les matières du droit et de la vie quotidienne (relations de travail, relations familiales, patrimoniales, problèmes d’habitation, relations de voisinage, …).

L’entreprise peut avoir également recours à la médiation dès lors que le différend touche son patrimoine, les relations entre associés, les relations avec/entre les employés, l’accompagnement de projets et de changements au sein de l’entreprise.

La médiation permet de prendre du recul, mieux comprendre la situation et se comprendre mutuellement.

Enfin, à titre expérimental, l’article 7 de la loi du 18 novembre 2016 a instauré une tentative préalable obligatoire de médiation familiale (TMFPO). Le Tribunal de Grande Instance de NANTES fait partie de cette expérimentation. Aussi, dès lors qu’une décision a déjà été rendue, une tentative de médiation familiale sera obligatoire.

La médiation se déroule en plusieurs étapes :

  1. L’une des parties ou son Avocat peut contacter notre cabinet par téléphone, email ou par courrier, afin de nous faire part du souhait de la mise en place d’une médiation conventionnelle.
  2. Avant de commencer la médiation, une convention de médiation est signée par l’ensemble des parties en cause, afin de préciser les principes et l’organisation de la médiation et ce dans un cadre confidentiel et sécurisé.
  3. Le Médiateur, tiers indépendant, neutre et impartial, reçoit les parties lors d’une ou plusieurs réunions au cours desquelles chacune peut s’exprimer librement dans le respect de l’autre.
  4. Le Médiateur aide les parties à rechercher des solutions mutuellement satisfaisantes. Les parties peuvent se faire assister lors des entretiens de toute personne de leur choix, dans la mesure où l’égalité entre les parties est respectée (Avocat, expert, syndicat, …).
  5. Le processus de médiation est libre, chaque partie peut l’interrompre à tout moment.
  6. À tout moment, une partie peut demander à s’entretenir seule avec le médiateur sous le sceau du secret pour discuter d’éléments susceptibles de résoudre le différend.
  7. Pour faciliter les échanges, il est possible pour le médiateur d’aller vers une partie seule, puis vers l’autre.
  8. Il est également possible lorsque la situation est complexe ou les parties nombreuses de travailler en binôme avec un autre médiateur.
  9. L’accord conclu engage les parties et, si elles le souhaitent, peut être homologué par le Juge. Il est ici précisé que le Médiateur ne rédige pas l’accord des parties.

Avantages de la Médiation :

La médiation permet de résoudre rapidement un différend avec un coût maîtrisé, à l’inverse des procédures judiciaires.

C’est un processus confidentiel, ainsi tout ce qui se dit ou se communique demeure confidentiel. Si les parties décident de mettre fin à la médiation, la confidentialité reste acquise.

La médiation est volontaire, aussi rien ne peut être fait sans le consentement des parties.

Coût de la médiation :

La médiation est facturée au temps passé en fonction du domaine d’intervention, du nombre de parties, ou d’intervenants, de la situation financière des parties, des circonstances soumises et du nombre de réunions.

Avant le début de la médiation, le coût et les modalités de règlement sont convenus dans la convention de participation à la médiation.

Les honoraires sont partagés entre les parties par moitié.

A titre indicatif, le taux horaire moyen est de 140 € HT de l’heure pour les particuliers et de 200 € HT pour les entreprises.

Certaines protections juridiques commencent à rembourser tout ou partie du coût d’une médiation.